Nous signaler la présence d’une espèce rare c’est contribuer à développer nos connaissances sur l’espèce et les endroits où elle est encore présente en vue de la préserver au mieux. Pour cela, envoyez-nous une photo de l’espèce, sa taille approximative, la date et le lieu de l’observation à contact@agencedelenvironnement.fr
Ces géants des mers mesurent en moyenne 1,30 mètre pour 60 kilogrammes mais peuvent atteindre 2,60 mètres pour 455 kilogrammes à l’âge adulte. La couleur de la peau varie entre le gris et le jaune sombre ponctué de taches noires sur le corps et la tête.
Ils vivent au stade larvaire et juvénile au sein de la mangrove, puis une fois adultes, ils rejoignent le récif corallien où ils vivent dans des grottes entre 30 et 100m de profondeur. Victime de la surpêche et de la destruction de son habitat, il est aujourd’hui rare d’en voir dans nos eaux.
Les zawags représentent 3 espèces de poissons-perroquets. En voie de disparition, ils sont protégés et interdits de capture.
Avec l’aide de l’association REGUAR, les requins font l’objet d’un suivi scientifique. Lors de vos plongées, si vous en prenez un en photo ou vidéo, n’hésitez pas à nous partager l’information. Ceci nous permet d’augmenter nos données les concernant pour adapter au mieux nos actions de préservation envers ces espèces. Rappelons que certains requins et raies sont protégés et interdits de capture.
Présente uniquement à Saint-Barthélemy et Anguilla dans le monde, cette espèce sub-endémique se fait de plus en plus discrète et disparaît peu à peu de nos jardins. En effet, de nombreuses menaces participent à la réduction de son habitat (urbanisation, disparition de la végétation due aux cabris et aux tortues), à la réduction de ses ressources alimentaires (serpent des blés, poules qui s’attaquent aux reptiles) et à la disparition de la couleuvre elle-même (chats, poules, hommes, qui s’y attaquent directement). Inoffensive et protégée au regard du Code de l’Environnement, vos observations nous permettront d’évaluer le nombre de couleuvres sur l’île et les sites où elle est encore présente. Ceci afin de déterminer par la suite des actions de préservation de l’espèce.
En savoir plus sur les reptiles de Saint-Barthélemy.
Présent uniquement dans les Petites Antilles, il est malheureusement en voie d’extinction dans la majorité de ces îles. Autrefois le plus gros animal de l’île, son habitat et ses ressources de nourritures sont aujourd’hui menacés par la construction et la présence de cabris en liberté. Les chats, les chiens et les véhicules représentent également un danger pour cette espèce. C’est pourquoi de bons gestes sont à appliquer. Soyez vigilants à bien différencier l’iguane des Petites Antilles de l’iguane rayé.
En savoir plus sur l’iguane des Petites Antilles.
Agir lors de l’observation d’une espèce exotique envahissante, c’est participer au quotidien à la préservation des espèces indigènes de l’île et maintenir un écosystème fonctionnel.
Un appel sur notre numéro d’urgence (+590 690 31 70 73) est de mise face à un serpent des blés, un iguane rayé, un anolis chevalier entre autres.
Adopter le bon comportement face aux cabris, aux chats divagants, aux poules divagantes et aux rongeurs est également essentiel.